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207 résultats trouvés avec une recherche vide

  • Pagaille dans La réglementation termites, les applicateurs en colères !

    La préconisation issue de la concertation < Objectifs 500000 > qui prévoit de revoir le zonage de la réglementation « termites » pour la construction neuve a pris les applicateurs de court. La préconisation issue de la concertation qui prévoit de revoir le zonage de la réglementation « termites » pour la construction neuve a pris les applicateurs de court. Le décret 2006-591 du 23 mai 2006 impose depuis novembre 2007 que les bâtiments neufs doivent être conçus et construits de façon à résister à l’action des termites et autres insectes xylophages. Des mesures qui s’imposent également et surtout dans les départements dans lesquels a été publié un arrêté préfectoral pris pour l’application de l’article L. 133-5, c’est à dire lorsque, dans une ou plusieurs communes, des foyers de termites sont identifiés. Or un arrêté préfectoral s’applique à l’ensemble d’un département. Un “maillage” large (une cinquantaine de départements concernés) pris selon le principe de précaution sur lequel propose de revenir Cécile Duflot suite à la concertation “Objectifs 500 000”. Et ceci, dans un souci de simplification réglementaire pour “rendre les règles proportionnelles aux enjeux”. Il a donc été décidé d’affiner la maille du zonage de la réglementation « termites » pour les bâtiments neufs et éviter une approche purement administrative. Une décision qui a déconcerté les applicateurs spécialisés dans les traitements Anti-Termites ! Nous nous sommes tous appelés entre nous : tout le monde est tombé des nues. “Après le décret de 2006 nous nous sommes tous tournés vers le préventif par opposition au curatif, traitement post-sinistre, nous avons effectué un gros travail de sensibilisation, nous avons embauché. Et cette décision tombe, qui remet ce modèle en question, alors qu’un référentiel extrêmement détaillé a été publié par le ministère du Logement il y a un an”. Les applicateurs estiment qu’à terme ce seraient 2000 à 2500 emplois qui seraient menacés ! Le secteur Anti-Termites a surtout du mal à comprendre pourquoi la prévention termite se retrouve visée “alors qu’elle ne représente que 0,06 % du coût de la construction (400 € aujourd’hui contre environ 1000 € il y a six ans) et que l’on s’attend à ce que le bois soit de plus en plus utilisé pour la construction neuve.

  • La réglementation termite est mal suivie !

    La réglementation Anti-Termites est-elle bien appliquée ? Depuis le 1er novembre 2007, dans tous les départements où il existe un arrêté préfectoral de lutte contre les termites, un décret oblige à protéger les nouvelles constructions. L’application est très hétérogène et à l’échelle nationale, mal suivie. En région bordelaise par exemple, où le phénomène est bien connu et ancien, les constructions sont généralement traitées préventivement. Elles l’étaient déjà avant l’obligation réglementaire, souvent par épandage. Le nouveau décret n’ayant pas retenu cette technique, dont l’impact environnemental sur les sols a été jugé trop important, seule la technique de protection a changé dans cette région. Mais en dehors des départements du grand-ouest, là où le phénomène est moins important ou plus récent, 70 % à 80 % des constructions neuves ne sont pas traitées. Comment expliquer cette mauvaise application du décret ? La réglementation est mal connue des constructeurs. Il faut dire que la communication a été insuffisante. Le ministère a fait paraître deux guides, le dernier datant de janvier 2013, dont les publications sont passées presque inaperçues. Le décret sur la protection contre les termites est aussi paru au même moment que d’autres modifications réglementaires importantes qui l’ont occulté. Néanmoins, la situation évolue dans le bon sens, notamment grâce aux actions de l’Untec (Union nationale des Économistes de la construction), des mairies et du FCBA auprès des économistes, des entreprises de construction et des maîtres d’œuvre. Les bureaux de contrôle sont généralement bien informés. Comment définit-on un système constructif contrôlable ? En France métropolitaine, les constructeurs ont le choix entre la mise en place de systèmes de protection au niveau de l’assise du bâtiment et la mise en place d’un dispositif permettant le contrôle de cette assise. La définition d’un système contrôlable, longtemps floue, a été clarifiée dans le dernier guide. On entend par système constructif contrôlable tout système qui rend possible l’observation directe et régulière de l’interface sol-bâti. Une structure plot béton, par exemple, est contrôlable. Un vide sanitaire en maçonnerie, à condition que sa hauteur soit suffisante, l’est également si l’inspection est couplée à une surveillance extérieure du bâtiment. Le constructeur qui met en place le système dit contrôlable est tenu de rendre au maître d’œuvre un descriptif du dispositif, mais également de définir les modalités et la fréquence de contrôle. Ce qui n’est aujourd’hui jamais fait. Or un système constructif contrôlable ne constitue en aucun cas un système de protection. Seul un contrôle annuel ou biennal peut prévenir une infestation. Cette alternative à la mise en œuvre d’une barrière physique ou physico-chimique n’est intéressante que si elle est bien comprise. Hélas, elle est souvent choisie par méconnaissance et s’avère dans ce cas inutile. Qui sont les professionnels habilités à effectuer les contrôles et à installer les protections ? La réglementation n’indique pas qu’il faille avoir recours à des entreprises spécialisées certifiées, mais le guide le préconise. Une entreprise de gros œuvre n’a ni les connaissances nécessaires sur la biologie des termites ni sur leur mode d’infestation. Elle n’est pas en mesure de déceler tous les indices traduisant la présence de l’insecte. Les entreprises de construction non certifiées qui proposent l’installation d’une protection contre les termites ne sont pas assurées, qu’elles aient ou non déclaré leur activité Anti-Termites. On rencontre aujourd’hui plusieurs cas de constructeurs faisant face à un sinistre et qui ne sont pas couverts par leur décennale. La seule certification de service qui existe aujourd’hui est la certification CTB-A+, délivrée par le FCBA. Les 121 entreprises qui en bénéficient aujourd’hui sont régulièrement suivies par des inspecteurs techniques et n’utilisent que des produits certifiés CTB-P+, testés et suivis par l’institut. via : Nathalie Bergeret, FCBA – Règles et normes – Le Moniteur

  • Les punaises de lit cheminent aussi sur les chemins de Saint-Jacques de Compostelle !

    Véridique, les punaises de lit se sont installées sur les chemins de Saint-Jacques de Compostelle. On ne peut pas en dire autant des œufs des punaises de lit qui ne mesurent qu’un millimètre de couleur blanche. Il faut compter 6 semaines pour un développement complet du stade d’œuf à celui d’adulte. Vous pourrez donc très bien transporter des œufs dans ou sur votre sac à dos sans vous en rendre compte pendant plusieurs jours et contribuer malgré vous à leur propagation. Le problème du petit vampire, la punaise se nourrit de sang Elle sort donc la nuit pour se repaître de vos petits corps endormis. Sa piqûre ressemble à celle d’un moustique, mis à part qu’elle est rarement unique. Généralement, vous constaterez des piqûres en ligne droite. Sur les chemins de Compostelle, un véritable fléau Les punaises sont transportées par les pèlerins eux-mêmes, dans leurs sacs à dos contaminés souvent à leur insu, après les avoir posés sur une literie contaminée et ainsi de suite. Mais la lutte contre ce pèlerin inopportun est sans relâche. Sacs désinfectés, literies pulvérisées, répulsifs. Tout est bon pour s’en débarrasser, le meilleur moyen restant bien évidemment d’éviter de l’aider à se propager.

  • Punaises de lit à la Réunion, le début d'une invasion.

    A la Réunion, l'infestation des punaises de lit n'est qu'à son début mais progresse très rapidement. Depuis quelque temps à comparer de la métropole et d'autres pays anglo-saxons où les infestations sont légion, l'infestation de plusieurs hôtels et de particuliers a bel et bien débutée. En lutte raisonnée, il est abandonné la technique classique consistant à nébuliser de grandes quantités d'insecticide dans une maison qui, de ce fait, doit être quittée par ses occupants pendant plusieurs jours. Cette méthode a généré des souches de punaises résistantes aux insecticides et incommode les occupants qui réintègrent, plusieurs jours après, un domicile imprégné de substances toxiques, même en des endroits où les punaises ne peuvent pas se trouver. La lutte raisonnée contre les punaises des lits est un travail lent, méthodique et minutieux, qui ne supporte pas d'approximations. A titre d'exemple, le traitement d'une chambre d'hôtel moderne nécessite entre une et deux heures de travail, selon le niveau d'infestation. Le confinement extrême de certains nids ne permet pas toujours d'atteindre les œufs. Il convient donc de programmer des interventions de suivi à plus 8 ou 15 jours et surveiller pendant 3 mois, avec du piégeage bien spécifique ou à l'aide de chiens renifleurs dressés à détecter la présence de punaise. A ce titre, l'utilisation de chiens dressés pour repérer les punaises est intéressante pour traiter en raisonnée et ne pas procéder à des nébulisations massives de volumes au risque rendant les lieux impropres à l'habitation durant plusieurs jours. Nos techniques d'application : L'applicateur doit revêtir une combinaison blanche jetable et y pulvériser de l'insecticide sur les bras, jambes et poitrine, afin de se prémunir des punaises qui pourraient migrer sur lui lors du traitement car il n'est pas agréable de ramener des punaises chez soi… Tout commence par une interview des occupants qui ont été piqués. La date de début des piqûres, les endroits du corps piqués permettent d'identifier les pièces infestées et les endroits à examiner et traiter. Il est ensuite procédé à un examen minutieux des lieux. Les punaises se réfugiant en des endroits très confinés dans la journée, il convient de les inventorier méthodiquement et les examiner très soigneusement. Une loupe et une lampe torche sont très utiles pour cet examen. Au cours de ces recherches, l'applicateur découvrira des nids regroupant punaises vivantes, œufs et mues et parsemés d'excréments noirâtres. Les nez "fins" sentiront peut-être à certains endroits, une odeur âcre caractéristique. Le démontage des lits, voire des meubles, est requis lors de fortes infestations. Intervenir à plusieurs applicateurs est donc nécessaire dans ces situations. Enfin, notre société, Laboratoire SUBLIMM 97-4, a signé le 21 février 2020 en tant que membre Outre-Mer de la CS3d (Chambre syndicale des industries de désinfection, désinsectisation et dératisation) un accord de partenariat pour lutter contre les punaises de lit, avec le Ministère chargé de la Ville et du Logement.

  • La dératisation des égouts des villes : nécessaire, obligatoire ou inutile ?

    Introduction : Les égouts constituent le principal réservoir de rats, dans toutes les villes. Les rats ou surmulots font intrinsèquement partie du biotope de l'égout et ils participent à son bon fonctionnement car ils évitent la plupart du temps bien des bouchons en circulant dans les descentes d'avaloirs et en y creusant des terriers dans leur limon. Il convient donc d'en réguler la population, afin d'éviter trop de migrations en surface. A l'intérieur des égouts, il y a peu à manger et les rats vont chercher l'essentiel de leur alimentation en surface, dans les containers de déchets etc. Aussi, les rats ne sont pas uniformément répartis sur la longueur d'un réseau. Beaucoup de colonies sont regroupées là où il y a en surface des commerces de bouches, des containers ou des poubelles permanents sur les trottoirs, des zones qui sont la plupart du temps négligées. Liste des ingrédients pour une bonne dératisation des réseaux d'eaux usées. De très bon techniciens, des rodonticides variés en matières actives et de 3ème génération, la pose d'appâts tous les 100 ml des principaux réseaux, le suivi durant 2 à 3 semaines afin de surveiller ce que devient les appâts. Quantités d'appâts nécessaires : La première étape est de connaître la population de la ville ou du quartier et la longueur du réseau d'égout en km. A savoir qu'en ville, il y a en moyenne 1.5 rats par habitant à l'intérieur du réseau principal d'égouts et, que la consommation moyenne journalière d'un rat est de 25 grammes. Quand et comment réaliser les opérations de dératisation des égouts : Pour une bonne réalisation des opérations de dératisation des réseaux, il est nécessaire de planifier deux traitements, un chaque semestre. Aussi, il est inutile de traiter tous les avaloirs et tampons. Traiter ceux proches de sources de nourriture en surface (containers, poulaillers, commerces de bouches, places de marchés…). Les gestionnaires de l'hygiène publique Les gestionnaires de l'hygiène publique connaissent maintenant les grandes lignes afin de mettre en œuvre la dératisation périodique des réseaux d'assainissement pour réduire drastiquement et en une seule fois, la population murine urbaine, sans toutefois contribuer à une immunisation progressive contre les poisons. Ils doivent avoir conscience qu'un programme aussi ambitieux relève de décisions politiques mais bénéfique pour l'ensemble des administrés.

  • Traitement des punaises de lit : Accroissement des résistances aux insecticides

    Les punaises de lit sont l’une des espèces d’insectes les plus difficiles à se débarrasser. Certaines punaises utilisent ces quatre mécanismes, d’autres trois ou moins. Déserter son lit et même la maison pour une période plus ou moins longue n’est pas une solution car ces insectes peuvent survivre pendant des mois sans nourriture, se cachant jusqu’au retour des résidant.  L’exposition directe aux insecticides, dont les plus largement utilisés sont des composés organiques appelés pyréthrinoïdes de synthèse qui a déjà été un moyen efficace de les éliminer mais ce serait de moins en moins le cas. Ces résultats, peuvent aider à développer de nouveaux produits chimiques plus efficaces. Mais en attendant, les entreprises de Pest-control doivent avoir recours à d’autres moyens. Dans des endroits comme l’Inde, les punaises de lit ne sont pas traitées comme des parasites représentant un énorme problème. Les gens traînent leurs meubles au soleil et les insectes en sortent et meurent de chaleur. Actuellement aux États-Unis, les entreprises de lutte des nuisibles emploient des tactiques similaires lorsqu’ils sont confrontés aux pires infestations. En effet, avons-nous pu constater que ces mêmes entreprises utilise différentes sources de chaleurs associés à un ou plusieurs ventilateurs pour brasser l’air chaud et ainsi de faire monter la température d’une habitation jusqu’à 35° voir 50°. Afin de maintenir cette température pendant quelques heures, les informations recueillies varient selon les entreprises spécialisées mais tous garantissent une élimination à 100%. Comment le Laboratoire Sublimm-OI traite les punaises de lit Le Laboratoire SUBLIMM utilise selon les cas rencontrés, la chaleur ou le froid comme traitement des punaises de lit ; le CO2 sous forme de neige carbonique à –78° ou bien l’azote liquide extrêmement froid jusqu’à –196°.

  • Etude génétique sur les punaises de lit "cimex lectularius".

    Alors que les punaises de lit sont en passe de devenir l’une des principales nuisances des habitations aux EU Les autorités ont une connaissance très limitée de leurs traits génétiques et de leurs mécanismes de résistance aux insecticides, explique Omprakash Mittapalli, professeur adjoint d’entomologie à l’Université de l’Ohio nord et coauteur de cette recherche. Cette étude est la première à élucider les caractéristiques génétiques de cet insecte Obtenir des connaissances moléculaires est fondamentales concernant les mécanismes potentiels de défense et les gènes qui pourraient jouer un rôle dans la résistance métabolique aux insecticides. L’hypothèse la plus souvent retenue pour expliquer la résistance aux pesticides de ces insectes envahisseurs est un ensemble de mutations dans certains gènes. Mais le rôle détoxifiant et antioxydant joué par des enzymes, qui expliquerait la résistance des punaises de lit aux insecticides, est très mal compris. Bien contrôlé depuis la seconde guerre mondiale grâce à un usage étendu du DDT Le nombre de punaises de lit "cimex lectularius" a soudainement augmenté jusqu'à 500% en Amérique du Nord au cours de la dernière décennie et dans d’autres endroits du monde dont la France. Cette invasion, qui n’épargne pas les hôtels de luxe, coûte des milliards de dollars annuellement aux propriétaires d’habitations et d’hôtels et requiert l’utilisation de grandes quantités de pesticides, même si la plupart sont inefficaces. Outre la résistance aux insecticides, l’essor des voyages internationaux et l’échange de meubles d’occasion sont responsables des invasions.

  • Des locataires de logement HLM contre les Punaises de lit.

    Habiter en logement HLM avec des punaises de lit, est un privilège ! Nathalie Brière habitait elle aussi Place Saint-Martin à Laval. Elle a résilié son bail en novembre dernier pour habiter un logement beaucoup plus cher à Montréal. L’Office municipal d’habitation a fait des traitements, mais les punaises revenaient tout le temps, confie-t-elle. Après les traitements, les enfants étaient malades, moi aussi, et ça ne donnait rien. J’ai demandé une résiliation de bail. » Nathalie Brière a contacté elle aussi une avocate pour obtenir un dédommagement. Quand on habite dans un HLM, c’est parce qu’on a besoin d’aide. On n’a pas besoin de problèmes supplémentaires, affirme-t-il. Reproches à l'HML Jusqu’à maintenant, quatre locataires et ex locataires ont amorcé des démarches pour obtenir des dédommagements en raison de punaises à Place Saint-Martin. Selon nos informations, une cinquième s’apprêterait à le faire aussi. Elles reprochent à l’Office de n’avoir pas traité le problème comme il le fallait, dès le départ. Chez nous, ils donnaient des traitements préventifs alors qu’il y avait déjà des punaises, affirme Nathalie Brière. Mes clientes allèguent que l’Office municipal d’habitation de Laval n’a pas rempli ses obligations de garantir que le logement puisse servir à son utilisation normale, explique Me Karine Pelletier, qui représente Julia et une autre plaignante, devant la Régie du logement. L'Omhl voudrait faire plus mais... L’Office municipal d’habitation de Laval reconnaît le problème. Il y a seulement quelques logements qui sont touchés, raconte Sylvain Carré, directeur de l’entretien à l’OMHL. Nous avons beaucoup appris depuis les derniers mois. Maintenant, nous donnons un préavis plus long avant les traitements et nous aidons les locataires à faire les préparatifs nécessaires, ce qu’ils ne faisaient pas toujours, explique Sylvain Carré. Le directeur admet que la lutte contre les punaises est difficile parce que les insectes ont trouvé refuge à l’intérieur des murs. Il faut leur tendre des pièges et traiter lorsqu’on nous les signale, poursuit-il. Depuis 9 ans, l’Office a triplé son budget d’extermination. Une dizaine de traitements ont été donnés à Place Saint-Martin depuis juin. Le dernier remonte à la fin janvier. Difficile de dire si le problème est réglé. Elles sont revenues après chaque traitement, commente Julia. Code du logement et enjeu électoral La situation du logement social à Laval n’est pas rose. Plus d’un millier de personnes attendent un logement de l’Office municipal d’habitation, qui compte un parc immobilier vieillissant et, dans certains cas, insalubre. C’est difficile de prévoir des travaux majeurs d’entretien lorsque le financement n’est pas stable, explique André Dénommé, directeur général de l’OMHL. Nous avons vingt immeubles à refaire pendant l’année. Mais si nous ne recevons notre budget seulement en mai, on ne pourra pas y arriver. La ville de Laval voit deux solutions à ces problèmes. La première, doter la ville d’un code du logement qui prévoira du soutien aux locataires en cas de plaintes et qui permettra à la Ville d’inspecter plus efficacement la salubrité des logements. Nous préparons l’écriture de ce code, c’est une promesse électorale. Il sera prêt pendant l’actuel mandat, explique Nicolas Borne, conseiller municipal et président du CA de l’Office. La deuxième solution se trouve à Québec : accorder à la Ville de Laval le statut de Ville mandataire en matière de logements sociaux. Avec un statut de Ville mandataire, nous serions priorisés lorsque des sommes sont disponibles pour logements sociaux. Nous pourrions aussi choisir quels projets sont priorisés, explique André Dénommé. Nous allons demander aux candidats aux prochaines élections ce qu’ils comptent faire en matière de logements sociaux pour Laval.

  • Les Punaises de Lit ou Bedbugs à la Réunion 974

    Augmentation des punaises de lit dans toutes les grandes cités du monde 🗺 Pourquoi une telle progression de ces insectes piqueurs ? Les punaises de lit, insectes piqueurs, sont en constante augmentation dans les villes du monde entier depuis une dizaine d’année. Elles ont envahi les hôtels newyorkais, progressent de 24% chaque année à Londres et leur présence a triplé depuis 2005 dans les grandes villes françaises. En Suisse, cette année, le nombre de cas de punaises de lit a quasiment doublé dans la plupart des grandes villes. En cause, la mondialisation ; les voyages d'hôtel en hôtel, le déplacement des hommes et des marchandises.

  • Les punaises de lit à la Réunion (974) rejoint le fléau mondial !

    Aujourd'hui, de plus en plus d'appel concernant des infestations de punaises de lit 🛏 Les punaises de lit (cimex lectularius) reviennent en force après plus de 50 ans La Réunion commence fortement à être infestée depuis quelques années. Rappelons, que l'immunisation des punaises de lits aux insecticides classiques est due au déversement inconsidéré durant des décennies, de pyréthrinoïdes de synthèse, alors qu'il est possible de lutter contre cet insecte sans aucun produit toxique ! Un sérieux problème pouvant mordre ou piquer tout le monde sans aucune distinction La présence des punaises de lit en votre domicile n’est pas l'effet d’une situation d’insalubrité au contraire car tout le monde peut subir une infestation accidentel, comme après un voyage, séjour dans un hôtel, 🏩 un gîte etc. Ces insectes parasites séjournent à l'abri de la lumière, dans des espaces sombres. Les chambres à coucher et les salons avec canapé sont principalement touchés. Les punaises de lit se nourrissent de sang humain et peuvent survivre plusieurs mois sans aucune nourriture. Aussi, elles peuvent piquer jusqu'à 100 fois dans une seule nuit, provoquant des boutons et des démangeaisons insupportables selon comment réagit la personne touchée.

  • Fumigation, gazage surprise ! Au nez et à la barbe des autorités et du voisinage

    Une affiche a été placée : Danger, ne pas entrer. Poison mortel. Travaux de fumigation avec gaz vikane. Entre temps, un certain nombre de voisins auraient appelés les fonctionnaires de la ville pour poser des questions sur le déroulement de ces travaux “inhabituels”. Le propriétaire de la maison n’a pas pu être joint ce jeudi et la société de Pest-control a refusé de délivrer toute information concernant cette opération de fumigation. Les services de Santé Publique de la Ville de Gloucester ont déclarés qu’il n’est pas nécessaire pour un propriétaire et encore moins pour une entreprise agréée de l’utilisation des gaz d’informer la ville pour ce type d’opération. Ils ont aussi ajoutés qu’ils n’avaient aucune connaissance technique en ce domaine. Pour information, le gaz  Vikane est fabriqué par Dow AgroSciences. Ce gaz est répertorié comme gaz, pour éliminer les termites de bois sec, les rongeurs, les coléoptères, les scolytes, les punaises etc. Et, il est utilisé sur les monuments historiques, les églises, les musées, les centres de recherche, les collèges, les hôtels, les bateaux ainsi que les maisons de particuliers comme précisé dans cet article et la photo en faisant état. Pour terminer cet article, des agents de surveillance embauchés par la société prestataire étaient sur les lieux dans la nuit de mercredi afin de veiller que personne ne puisse s’approcher de la maison en cours de traitement, mais à priori il n’y avait aucune de ces mesures prévues pour la nuit du jeudi à aujourd’hui.

  • L’attaque des moustiques tigres en Belgique

    Invasion des moustiques tigres en Belgique Ces insectes asiatiques pourraient bien s’installer chez nous et ce n’est pas sans danger Les moustiques tigres refont parler d’eux suite aux déclarations de Maggie De Block. La ministre de la Santé craint que le moustique tigre s’établisse définitivement en Belgique. Ce moustique fait déjà quelques incursions chez nous depuis plusieurs années. Des larves et des adultes ont été repérés en Wallonie et dans le port d’Anvers mais ils ont été maîtrisés. On l’appelle moustique tigre en référence aux lignes blanches qui strient son corps et ses pattes noirs. L’espèce vient tout droit d’Asie, le moustique tigre vivait avant essentiellement dans les forêts, des zones de marécages et, petit à petit, il a colonisé les milieux de l’homme. Comment cette espèce est-elle arrivée chez nous ? Pour deux raisons, la première, la mondialisation, les transports. Ces moustiques arrivent dans les pneus mais aussi les plantes, via les “lucky bambous”, les bambous qui se terminent en queue de cochon. Ils sont importés avec un peu d’eau, endroit rêvé pour le moustique tigre. L’autre raison de sa présence, c’est le réchauffement climatique. C’est une espèce résistante qui s’adapte facilement. Le risque que le moustique tigre s’installe en Belgique est donc réel. Et pourquoi doit-on craindre ce moustique-là ? Parce qu’il travaille la journée, il pique en plein jour, parce qu’il vise aussi bien l’homme que les animaux et parce qu’il véhicule des maladies importantes pour l’homme comme la dengue ou le chikungunya qui peuvent parfois être mortelles.

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