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209 résultats trouvés avec une recherche vide

  • Les termites kamikazes

    En Guyane, un bon termite de défense est un termite mort au combat. Zoom sur le caractère explosif de ces termites guerriers. Chez les Neocapritermes taracua une espèce courante de termite de Guyane, on ne rigole pas avec la défense de la colonie. Une étude publiée sur Science le 27 Juillet 2012 a montré que ces insectes sont dotés d’un dispositif de guerre original. Pour protéger leurs semblables, des ouvriers n’hésitent pas à se faire exploser afin de repousser l’agresseur. Au sein d’une même société, certains termites affichent dorsalement une sorte de sac-à-dos bleuté, composé de deux petites poches qui est une arme de guerre redoutable, une bombe chimique sur demande. Si le termite se fait immobiliser par un ennemi, il se sacrifie en faisant exploser son abdomen sous la pression interne. Le mélange des cristaux bleutés et de leurs vésicules de sécrétion dégage alors une substance toxique. Le résultat est sans appel : si le termite meurt dans l’explosion, les ennemis, eux, sont décimés. Yves Roisin, professeur à l’Université libre de Bruxelles, a pu observer que cette particularité n’est pas présente chez tous les membres d’une même colonie. Pour différencier les “kamikazes” des autres, le chercheur s’est intéressé à leurs mandibules. Il a ainsi remarqué que plus les mandibules sont usées témoignant de l’âge avancé de l’insecte, plus les poches bleutées se remplissent. Les ouvriers plus âgés préparent donc une retraite “commando”, sous forme de cocktail meurtrier. Si les termites plus jeunes peuvent eux aussi jouer la carte de l’attentat suicide, l’absence de ces fameux cristaux bleus diminue nettement leur taux de victimes. Cette différence serait due à la présence de cuivre au sein des poches bleuâtres. Si cette technique d’auto-défense n’est pas nouvelle dans le monde des insectes, l’étude met cependant en évidence pour la première fois l’implication de deux produits : des cristaux bleus et des sécrétions de glandes salivaires. Un véritable cocktail explosif ! via : National Geographic

  • Des fourmis esclavagistes !

    Les fourmis ont beau être de petits insectes, elles sont loin d’être totalement inoffensives. Des biologistes allemands viennent encore d’en apporter la preuve avec la découverte d’une nouvelle espèce. C’est dans le nord-est des Etats-Unis que les scientifiques de l’Université de Mayence et du Muséum d’Histoire naturelle Senckenberg de Görlitz ont fait la connaissance de ces fourmis inconnus. Selon l’étude publiée dans la revue Zookeys, ces dernières appartiennent au groupe des Temnothorax, qui compte plusieurs centaines d’espèces de petites fourmis vivant dans les arbres et les forêts. Mais par rapport à leurs congénères, les nouvelles venues présentent un comportement assez fascinant : elles sont capables d’infiltrer tout en discrétion les colonies voisines d’insectes pour se procurer des esclaves. Cette attitude lui a valu d’être nommée Temnothorax pilagens ou tout simplement fourmi “pillarde”. Les scientifiques avaient déjà observé ce type de pratique avec certaines fourmis d’Amazonie capables de lever une armée de 3000 individus qui rasait les colonies adverses ou menait un siège long et épuisant. Mais les Temnothorax pilagens font dans la subtilité et économisent leurs moyens et leurs forces en s’infiltrant à la manière de véritables ninjas. Des attaquantes camouflées Pour en arriver là, les scientifiques ont observé toute une colonie de ces fourmis et les ont étudié alors qu’elles s’attaquaient à d’autres colonies. Selon l’étude publiée dans la revue Zookeys, les pillardes parviennent à s’attaquer à deux autres espèces, Temnothorax longispinosus et Temnothorax ambiguous pourtant bien barricadées dans des noix ou des glands. Normalement, ces places sont faciles à défendre puisque les murs sont impénétrables et qu’elles ne possèdent qu’une seule entrée d’un millimètre de large. Mais ces places fortes ont leur point faible : leur petite taille, rapporte l’AFP. Ainsi, les “fourmis pillardes”, qui mesurent 2,5 mm, partent par groupe de quatre, dont l’éclaireuse ayant découvert la cible. Elles se glissent alors dans la place adverse par la petite porte. Cette intrusion ne déclenche que peu de réactions chez les fourmis envahies, ont observé les chercheurs. D’après eux, les Temnothorax pilagens utiliseraient peut-être une sorte de camouflage chimique. Ce camouflage servirait à cacher leur signature chimique et les aiderait à passer inaperçues tandis qu’elles pénètrent dans les logis de leur cible. Une fois qu’elles sont entrées, au lieu d’abattre leurs congénères, comme c’est habituellement le cas entre fourmis ennemies, les pilagens emportent les larves mais aussi des adultes qu’elles ramènent chez elles pour les faire travailler à leur compte. Agressive ou pacifique Toutefois, le camouflage chimique n’est pas toujours totalement efficace. Dans les cas où les intruses sont démasquées, elles passent alors à l’attaque et abattent leur adversaire en les piquant avec leur dard à un point du cou précis : là où la carapace est molle, souligne l’étude. La piqûre entraîne une paralysie instantanée et une mort rapide. Les colonies attaquées perdent de 5 à 100% de leurs occupantes pour quasiment aucune perte à déplorer chez les pilagens, peu nombreuses pendant les raids. En fonction des circonstances, le comportement des Temnothorax pilagens peut donc être aussi bien hautement agressif que relativement pacifique, concluent les chercheurs repris par LiveScience. via : Une redoutable espèce de fourmis esclavagistes découverte aux Etats-Unis.

  • Les rats peuvent se révéler pleins de compassion et ne sont pas égoïstes !

    Le rat préfère en général voler au secours de son prochain Du moins d’une de nos émotions. Car lorsqu’il a le choix entre savourer des pépites de chocolat ou libérer un congénère enfermé dans une petite cage, le rat préfère en général voler au secours de son prochain, selon  une étude américaine. La science avait déjà mis en évidence que l’altruisme n’était pas uniquement réservé à l’être humain mais existait par exemple chez les singes. Mais l’étude, menée par des spécialistes du cerveau de l’Université de Chicago et publiée jeudi dans la revue Science, est la première à mettre en évidence chez le rat un tel comportement suscité par un sentiment d’empathie, a déclaré Jean Decety, l’un des auteurs de la recherche. Les rates plus que les rats. Pour mener leur étude, les laborantins ont réparti 30 rats deux par deux dans des cages où l’un d’entre eux était pris au piège dans un petit enclos. Le  rat en relative liberté donnait des signes d’agitation lorsque son compagnon  était enfermé. Après trois à sept jours, la plupart des rongeurs parvenaient à ouvrir la  porte de l’enclos enfermant l’autre animal. Une fois qu’ils avaient compris comment procéder, ils commençaient systématiquement par ouvrir la porte dès qu’ils entraient dans la cage. Afin de mesurer plus avant l’altruisme du rat. Les chercheurs ont mis à  disposition de leurs sujets des pépites de chocolat. En temps normal, chaque rat dévorait la totalité du repas. Mais lorsque son compagnon était enfermé, dans la moitié des cas, le rat la libéré afin de partager le chocolat avec lui. Même s’il a parfois commencé le festin tout seul. Le rat pourrait manger tout le chocolat à lui tout seul. Mais il ne le  fait pas. Cette découverte nous a fait l’effet d’un choc, a déclaré la neurobiologiste Peggy Mason. Les chercheurs ont constaté que l’altruisme était plus répandu chez les femelles que chez les mâles. Les prochaines étapes de l’étude pourraient consister à chercher les différences biologiques entre les rats altruistes et les autres. En attendant, Peggy Mason estime que l’étude donne une leçon à l’être humain: “Lorsque nous agissons sans empathie, nous le faisons à l’encontre de nos dispositions biologiques. Si les gens écoutaient davantage leur héritage biologique, ils sen porteraient mieux”.

  • La gale : 13 cas de gale dans une école flambant neuve.

    La gale gagne du terrain. Treize cas de gale confirmés en quelques semaines au sein du groupe scolaire Claudie Haigneré à Châtellerault ; ce sont les chiffres qui ont été donnés hier soir lors d’une réunion avec les parents d’élèves. Parmi les personnes touchées figurent deux institutrices. Au sein de l’école maternelle, une désinfection a été déjà entreprise, doudous et couvertures notamment ont été nettoyés mais l’école primaire n’a pas été traitée. Nombre de parents d’élèves demandent aujourd’hui l’intervention en urgence des services d’hygiène afin que l’ensemble du bâtiment soit totalement désinfecté. Le groupe scolaire Claudie Haigneré est une toute nouvelle école qui a été inaugurée le 4 novembre dernier. Du côté de la mairie de Châtellerault, on joue la carte de l’apaisement. Anne-Florence Bourat, l’élue en charge de l’éducation, explique que toutes les mesures ont été prises et que l’information aux parents a été faite. Quand aux mesures de nettoyage a-t-elle précisé, nous suivons scrupuleusement ce que nous demande l’Agence régionale de santé. Depuis le début de l’année, des cas de gale commune ont été signalés dans 3 écoles de la Vienne.  De plus en plus de cas Au niveau national, le nombre de cas de gale est en nette augmentation : le phénomène aurait progressé de 10% ces dix dernières années. Cette maladie, très contagieuse, qui se transmet par contact physique direct, est donc de plus en plus présente et notamment dans les écoles. L’une des explications avancée est que le traitement prescrit pour soigner la maladie n’est pas remboursé par la sécurité sociale. Or, selon les calculs de l’Institut de veille sanitaire, lorsqu’un cas de gale survient dans une famille, cela coûte 75 euros de traiter la personne et de protéger les autres. Par ailleurs, certains médicaments prescrits seraient aujourd’hui en rupture d’approvisionnement. Qu’est-ce que la gale ? La gale est une maladie infectieuse de la peau causée par un parasite de type acarien microscopique, le sarcopte (Sarcoptes scabiei) qui creuse dans l’épiderme des galeries où elle dépose ses œufs. Il s’agit d’une affection bénigne (sans gravité), provoquant un prurit constant et de vives démangeaisons, premiers signes de cette maladie. La gale est très contagieuse : un simple contact de peau à peau suffit pour transmettre l’acarien.  Le diagnostic peut, selon les cas, être établi à l’examen clinique ou nécessiter un prélèvement. Le traitement fait appel à des médicaments utilisés par voie orale ou cutanée. Le traitement de l’entourage et la décontamination de l’environnement sont également souvent associés.

  • Grave panne d’électricité sur la centrale de Fukushima : un rat aurait provoqué un court circuit

    Attention aux rats et les installations électriques Nous avons confirmé la présence d’un petit animal, a expliqué un porte-parole de la compagnie Tokyo Electric Power (Tepco) en présentant une photo prise du dessus sur laquelle le cadavre du petit animal en question ressemble clairement à un rat d’une quinzaine de centimètres. Le rat, conducteur, aurait pu faire jonction entre deux connexions électriques et faire disjoncter les équipements. Cable électrique rongé par un rat Lundi, vers 19h00 locale, le courant s’était brutalement interrompu dans une partie des installations de Fukushima Daiichi, stoppant les dispositifs de refroidissement des piscines de désactivation des réacteurs 1, 3 et 4, et d’un bassin commun, dans lesquels sont immergés des milliers d’assemblages de combustible usé. Les équipements en question se trouvent dans un camion garé au pied des bâtiments. En sortent des câbles destinés à l’alimentation des systèmes de refroidissement, selon les photos publiées par Tepco. La compagnie avait précisé que la panne provenait de plusieurs tableaux de distribution électrique. Le rétablissement s’est fait progressivement, et a été achevé à la première heure du matin, mercredi. Cette panne, sans doute la plus grave depuis que la centrale a été déclarée en état stable dit d’arrêt à froid mi-décembre 2011, a révélé la précarité des dispositifs actuellement en place dans ce complexe atomique mis en péril par le séisme et le tsunami du 11 mars 2011. Bien qu’ayant une fois de plus fortement été critiquée pour avoir mis trois heures à faire état publiquement de cette panne, la compagnie Tepco s’est montrée très rassurante, assurant notamment qu’il aurait fallu plusieurs jours avant que la température de la piscine n’atteigne un niveau susceptible d’inquiéter. via : news.fr.msn.com

  • Des réserves d’eau pour termites dans le désert de Namibie.

    L’énigme de l’origine des cercles de fées du désert de Namibie a été percée. Ces étranges édifices sont l’ouvrage de termites Psammotermes allocerus, qui cherchent à se faire des réserves d’eau. L’objectif est évident : résister aux sécheresses. Le désert du Namib, l’une des plus vieilles zones arides de la planète, abrite d’étranges formations botaniques dans sa partie orientale : des cercles de fées. Selon les traditions locales, il s’agirait d’empreintes laissées par des dieux, mais les scientifiques n’en sont pas convaincus, malgré leur manque d’arguments. Difficile en effet d’expliquer comment des milliers de cercles totalement dépourvus de vie, en apparence, ont pu se développer au milieu de la végétation rase du désert et il ne pleut que 5 à 10 cm d’eau par an. Difficile aussi de savoir pourquoi ces cercles sont entourés d’une bande herbeuse particulièrement riche. Difficile. Norbert Jürgens de l’université de Hambourg Allemagne vient de tout clarifier. Il a pour ce faire étudié plusieurs centaines de cercles de fées, répartis sur une bande désertique s’étendant de l’Angola à l’Afrique du Sud, soit sur environ 2.000 km. La radioactivité et les plantes toxiques sont totalement étrangères à l’affaire. En revanche, on ne peut pas en dire autant de petits insectes qui vivent dans le sable d’où les termites Psammotermes allocerus. Durant la période de sécheresse, de nombreux animaux herbivores sont probablement heureux de trouver de la végétation en bordure des cercles de fées namibiens. Ils peuvent remercier les termites à l’œuvre dans le sous-sol. Des réserves d’eau pour les termites. Ces termites sont les seuls êtres vivants à avoir été observés dans la plupart des cercles de fées. Mais profitent-ils de ces écosystèmes locaux ou, à l’inverse, sont-ils responsables de leur formation. Une fois encore, la réponse nous est fournie dans l’article publié par Norbert Jürgens dans la revue Science. Les cercles ne sont que la partie visible de tout un système de récolte d’eau de pluie. Quelques explications s’imposent. L’absence de végétation s’explique par l’appétit qu’ont les termites pour les jeunes racines, celles se développant avant même que la plante ne sorte de terre par exemple après la survenue d’un épisode pluvieux. Les cercles, apparemment dénués de vie, trahissent donc la présence d’insectes dans le sous-sol. Qui dit moins de végétaux en surface dit aussi moins d’évaporation, et donc une meilleure conservation de l’eau de pluie dans la terre. L’existence de galeries creusées par les termites tend d’ailleurs à faire descendre cette eau en profondeur, là où les températures sont plus faibles, et donc où l’évaporation est moindre. Ainsi, de par leurs habitudes, les termites arrivent à se constituer des réserves d’eau pour les périodes les plus sèches. L’activité des termites explique également la formation de la bande herbeuse circulaire. Les colonies de termites sont localisées au cœur de cette zone délimitée, mais sur les bordures, ces insectes ne s’attaquent pas aux racines des plantes. Elles peuvent donc grandir en toute quiétude tout en profitant un peu des réserves d’eau. Selon la revue New Scientist, Walter Tschinkel n’est pas convaincu par cette explication, mais plusieurs chercheurs ont salué la valeur des preuves apportées. Ainsi, les cercles de fées du désert de Namibie se révèlent être des empreintes de colonies de termites, et non divines.

  • La Floride envahie par des super termites

    Les deux espèces de termites les plus destructrices du monde sont en pleine hybridation, c’est ce qu’ont découvert des chercheurs de l’université de Floride, aux États-Unis. En collectant des spécimens durant la période de reproduction, ces scientifiques ont constaté la présence de termites souterrains de Formose (originaire de Chine) et de termites souterrains d’Asie (une espèce tropicale). Après observation, ils ont constaté que les termites mâles d’Asie préfèrent les femelles de Formose plutôt que celles de leur propre espèce, probablement car elles émettent plus de phéromones. Ce type d’hybridation était auparavant considéré comme improbable car les périodes de reproduction des deux espèces ne concordaient que rarement.Le fait que ces deux espèces puissent se reproduire et former une colonie viable est inquiétant, car ces hybrides se développent beaucoup plus vite et en plus grand nombre. Si la colonie peut atteindre la maturité plus rapidement, cela signifie qu’elle pourra engendrer plus de dégâts sur l’environnement et les habitations. via : © University of Florida #supertermites #termites #termiteshybrides #traitementtermites

  • Livraison des colis : mieux que les drones, voici les pigeons voyageurs.

    Pigeon voyageur high tech. Titillant son concurrent Amazon et son service de drones. Le marchand en ligne LDLC ressort son projet de pigeons voyageurs. Alors qu’Amazon parle de son service Prime Air avec ses drones pour livrer les colis les moins encombrants poids maximal de 2,5 kilogrammes en un temps record 30 minutes , voilà que LDLC  joue la carte de l’humour pour titiller son principal concurrent. LDLC a été désigné numéro un français pour la vente en ligne de produits high-tech par les internautes, mais reste deuxième derrière Amazon dans le classement global en ressortant un vieux  projet  qui date de 2010. Écologique et plus ou moins rapide selon l’option choisie, il s’agit de ses fameux pigeons voyageurs nourris aux graines premier prix, top speed ou anabolisantes dont il s’était servi pour le 1er avril de l’année 2010.

  • Pièges Appâts Anti-Termites

    L’avantage du Procédé Sentri Tech est qu’une fois installé, l’élimination des termites présents à l’intérieur des bâtiments sont détruits ainsi que la Termitière présente dans le sol à des distances pouvant aller jusqu’à 15 mètres de profondeur.

  • Nature : Baleine et son baleineau

    Magnifique ! Dans les eaux de l’océan Indien au large de la Réunion, 2 baleines la mère et son rejeton. Enfin, elles reviennent après plus de 2 années d’absence. Filmé à l'aide d'un drone.

  • Les souris et rats arrivent avec l’hiver

    Le froid arrive et les rongeurs avec : souris, rats, loirs ou lérots vont essayer de pénétrer dans nos logements ainsi que tout autres lieux où ils pourront trouver de la chaleur et surtout de la nourriture. Et même avec des locaux à priori totalement étanche nous pourrons avoir la désagréable surprise d’entendre des bruits, des traces ou pire, les indésirables en chair et en os là devant vous. Pour information une souris peut entrer dans un bâtiment ou d’autres locaux en utilisant qu’un accès de 5 mm ! #rats #reglementation_deratisation #souris #mulots #deratisation #surmulots

  • Greffe sur des rats : Une technique prolonge la vie des organes à transplanter.

    via : Pourquoi Docteur #expériencesurdesfoiesderats #expériencesurrongeurs #greffe

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