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La GALE : Recrudescence d’une maladie parasitaire qui avait quasi disparu


La gale gagne du terrain

La Gale – Photo Laboratoire Sublimm


 La gale que l’on croyait disparue est en recrudescence. Même s’il manque des chiffres, médecins et responsables d’établissements le constatent.

La gale n’est pas une maladie mortelle ou même grave, mais elle est dans une certaine mesure en recrudescence, et beaucoup en parlent avec pudeur, voire gêne. Ce n’est pourtant pas une maladie honteuse.

Mais voilà, son apparition n’est pas sans rapport avec l’hygiène ; autrement dit un manque d’hygiène. D’où la réserve et les précautions observées.

Il manque des chiffres

Là encore, dans bien des cas, aucune honte à l’horizon. L’hygiène mise en cause peut être évidemment due à un mode de vie peu regardant sur les règles élémentaires, mais elle résulte souvent du contact avec un siège (dans la pièce d’une collectivité ou une voiture), un casque de moto, une bombe d’équitation.

La comptabilité n’est pas facile à faire, on n’a pas de chiffres, reconnaît le docteur Yves Guimard, responsable de l’unité maladies infectieuses au centre hospitalier Jacques-C’ur, car déclarer cette pathologie n’est pas obligatoire. Mais on a l’impression d’une recrudescence car elle est observée régulièrement.

Ce constat est également fait par les responsables de l’Agence régionale de santé (ARS).

Et il est également fait par les généralistes. L’un d’entre eux reconnaît sans surprise que la gale est beaucoup plus fréquente qu’on le croit depuis deux ans environ. On la voit partout, dans les familles, les collectivités, qu’il s’agisse de maisons de retraites, de centres de soins ou d’établissements scolaires. Le problème est qu’on peut se réinfecter soi-même. L’hygiène de la maison est donc à revoir… Et les cas étant plus nombreux, il n’est pas rare de voir des mamans dont le bébé doit être traité.

L’hygiène est à revoir

On en est là. Jean-Paul Servier, directeur du centre hospitalier spécialisé George-Sand, note que  le diagnostic n’est pas toujours facile à faire, mais je ne constate pas de hausse de ce phénomène. Cela étant, nous avons la même porosité, perméabilité que les autres établissements. En cas de constat, médecins et pharmaciens sont mobilisés.

Reste la prospective : si le phénomène gagne en ampleur, ne faut-il pas que la déclaration des cas de la gale devienne obligatoire ?

via : leberry.fr

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