Mis à jour : 7 nov. 2022
On leur préférera désormais le vocable « déprédateurs », car il pose la question de leurs dégâts et non de leur simple existence dans l’écosystème. Le sort du vison d’Amérique, du raton laveur, du ragondin, du rat musqué et de la bernache du Canada, actuellement qualifiés de « nuisibles », va-t-il s’améliorer quand ces bestioles seront qualifiées de « déprédatrices » ? On saura en juin, quand le projet de loi sera discuté à l’Assemblée nationale, si ce changement est purement sémantique ou non.
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